Spare Parts 3D engage un programme de R&D financé par l’Agence de l’Innovation de la Défense et avec le concours de l’ENS Paris Saclay.

La start-up Spare Parts 3D développe un logiciel capable d’identifier, dans un stock de plusieurs centaines de milliers de pièces, celles qui pourraient bénéficier de l’impression 3D. Elle a engagé un projet de R&D de trois ans avec l’ENS Paris-Saclay visant à définir, à partir de dessins techniques, une modélisation 3D et un fichier d’impression des pièces.

L’impression 3D de pièces de rechange s’impose de plus en plus comme une solution face aux ruptures de stock. Mais il peut être difficile d’identifier quelles pièces peuvent être imprimées dans un stock de plusieurs dizaines, voire centaines de milliers d’objets. C’est pour répondre à cette problématique que la start-up française Spare Parts 3D a été fondée et qu’elle a débuté, le 15 mars, un projet de R&D de trois ans avec l’Ecole normale supérieure (ENS) Paris-Saclay, financé par l’Agence de l’innovation de défense (AID).

« Notre logiciel permet d’analyser plusieurs centaines de milliers de pièces pour identifier celles qui pourraient bénéficier, d’un point de vue économique et technique, de la fabrication additive, développe Christophe Migliorni, directeur technique de la pépite fondée en 2015. Pour chaque pièce, nous proposons une technologie et un matériau adéquat, tout en effectuant une analyse de profitabilité économique de son impression. »

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